Le 21 mars 2009

Avant le 20 janvier 2009

Peu après ma sortie de prison, j’ai compris que c’était la citoyenneté qui me tenait emprisonnée dans l’esclavage sans chaînes. J’étais la sujette d’un souverain extérieur à moi, l’État, auquel j’appartenais. Il me procurait sécurité et protection; en contre partie, je le servais docilement. Ma situation était celle d’un animal domestiqué, entretenu par son maître auquel il doit obéissance et fidélité absolues. Comment pouvais-je sortir de cette prison et connaître la liberté? J’y arriverais en cessant d’être entretenue et protégée par le maître et en m’assumant. Mais ce dernier pourrait bien envoyer ses chiens bergers à mes trousses pour me ramener de force à la maison et m’y séquestrer. Qu’il le fasse. Désormais, ma décision était prise et rien ne me ferait y renoncer. Je ne serais plus un animal, la peur ne mènerait plus ma vie. J’ai choisi de me prendre en charge, de renoncer aux droits et aux privilèges garantis par mon maître l’État, et de me libérer de mes devoirs et obligations envers lui. La citoyenne esclave, Marie Éva Sophie Ghislaine Lanctôt – et avec elle sa sœur siamoise, LANCTÔT GHISLAINE – mourut civilement le 31 juillet 2008!

Voilà l’état d’âme qui m’anima pendant les mois suivants mon incarcération. Je les consacrai à rédiger Madame Ghis – Évasion en prison. Le livre, paru le 1er décembre, relatait mon parcours évolutif depuis 15 ans ainsi que le quotidien de ma vie carcérale pendant deux mois. Toutefois, il restait inachevé. Le procès de LANCTÔT GHISLAINE n’aurait lieu que le 20 janvier 2009. Entre temps, on me demandait souvent « Que va-t-il arriver le 20 janvier? » Je n’en avais aucune idée. Mais je savais une chose : TOUT EST PARFAIT. Ainsi, la décision du juge serait la meilleure pour mon évolution de conscience et celle de l’humanité. Plus la date du procès approchait, plus ma toute-puissance intérieure grandissait. Le 20 au matin, j’étais prête à tout. Je me sentais calme et solide comme le roc de Gibraltar.


Le 20 janvier 2009

L’entité légale LANCTÔT GHISLAINE devait subir son procès le 20 janvier 2009 au Palais de justice de Granby. Moi, Ghis, j’avais promis lors de ma dernière visite en Cour que je serais sur les lieux à cette date. Ma visite du 20 janvier fut brève. J’ai immédiatement annoncé au (nouveau) juge la mort de la citoyenne Marie Éva Sophie Ghislaine Lanctôt. Et ce dernier de répondre : « Est-ce que vous êtes prête pour votre procès? » J’ai alors informé le juge que j’étais un être souverain avec un corps, une âme et un esprit et que je n’avais rien à voir avec la personne légale fictive citée en Cour aujourd’hui. Le juge rétorqua : « Madame, j’entendrai la cause de madame Lanctôt tout à l’heure. Si vous n’avez rien à voir là-dedans, vous n’avez rien à voir là-dedans… Merci beaucoup, vous pouvez vous asseoir dans la salle. »

Étonnée par ces propos, déterminée à ne pas participer au procès, j’ai décidé de quitter la salle. Avant de partir, j’ai remis à la Cour une feuille avec d’un côté l’Avis de décès de la citoyenne et, de l’autre, la Déclaration de la souveraine. Vous trouverez ces deux documents plus bas.
Puis je suis sortie du Palais de Justice. Le procès de LANCTÔT GHISLAINE eut lieu plus tard dans la journée, en mon absence. Étant donné l’incarcération – « énorme » selon le juge – déjà subie par l’accusée, il lui imposa l’amende minimum, mille dollars (1 000$) avec un délai de deux (2) ans, sans frais. Cependant, il refusa d’émettre l’ordonnance de produire les déclarations d’impôts que le procureur lui demandait.


L’AVIS DE DÉCÈS DE LA CITOYENNE (recto)

Cette expérience de mort-sans-mort est pour le moins inusitée, voire même insolite dans notre monde d’illusion actuel où nous ne connaissons que la mort physique, inévitable. Elle seule peut nous libérer de l’enfer sur Terre dans lequel nous vivons et nous donner accès au paradis, avec le repos éternel.

Et si la mort n’existait pas?
Et si l’on pouvait connaître le paradis sur Terre, sans la fin de nos jours?

Voilà le but de ma démarche. Passer de l’inconscience mortelle à la conscience immortelle. Retrouver mon identité véritable. Quand je me souviens de qui je suis, l’être créateur illimité de tout, qui a toujours été et sera toujours, la mort est impossible. Par conséquent, tous les systèmes érigés sur ce mensonge mortel cessent d’exister et s’effondrent tôt ou tard, comme ils ont d’ailleurs commencé à le faire. C’est la fin du monde illusoire actuel, celui où nous naissons dans la peur, agissons par peur et mourons DE peur. La peur, c’est la mort qui a peur de mourir. Pour faire le passage dans le nouveau monde, celui de la réalité, il faut mourir À la peur et découvrir la vie-sans-mort. Il s’agit d’un processus de transformation, tout comme la chenille rampante qui disparaît dans sa chrysalide pour renaître en papillon libre.


LA DÉCLARATION DE LA SOUVERAINE (verso)

La souveraineté se définit comme « l’autorité suprême ». Un être souverain est une personne qui fait un transfert de pouvoir : elle passe de la souveraineté illusoire extérieure (État) à la souveraineté véritable intérieure (âme). Elle est l’autorité et l’obéissance unifiées. Elle obéit à sa seule conscience : sa loi est individuelle, intérieure, dictée au moment présent. La division autorité-obéissance est finie, la guerre aussi. Adieu jeux de pouvoir gagnant-perdant. Elle n’a pas peur de perdre ce qu’elle a ni de ne pas avoir ce qu’elle veut. Détachée du résultat, elle connaît la paix intérieure et la sérénité en toutes circonstances.


Après le 20 janvier 2009

Plusieurs personnes se sont exprimées suite au procès du 20 janvier 2009. Questions, commentaires, suggestions ont fusé de toute provenance. Chacune a manifesté son intérêt de façon différente. Merci à toutes. Je réponds aujourd’hui.

QUI A GAGNÉ?
Un procès, c’est comme un match de hockey : l’un attaque (le poursuivant); l’autre se défend (l’accusé); le troisième, arbitre (le juge). C’est une guerre de laquelle émergent un gagnant et un perdant. Quant à moi, je ne fais plus la guerre et n’y collabore plus. Depuis le début de cette saga légale, je refuse d’y participer. Encore une fois, le 20 janvier 2009, j’avais décidé de ne pas prendre part à ce combat judiciaire, pour aucune considération. Je laissais ainsi le champ libre au juge et au procureur de décider ce qu’ils voulaient, sans que j’intervienne. Est-ce de la résignation? Non, de la création consciente. À un ami qui m’a demandé la veille quels étaient mes plans, j’ai répondu : « Je n’en ai pas. » Je donne carte blanche à mon âme et accepte d’avance ce qu’elle créera. C’est elle qui détient le véritable pouvoir. De toute façon, c’est toujours l’évolution de la conscience qui gagne. Et, sur ce plan-là, j’ai été comblée au-delà de toute espérance.

VAS-TU PAYER?
Les journalistes, tout particulièrement, m’ont demandé si j’allais payer l’amende imposée par le juge. À tous je réitère que je ne suis pas concernée. Depuis juin 2007, j’ai cessé de m’identifier à la personne légale numérotée LANCTÔT GHISLAINE créée par l’État et propriété de ce dernier. C’est cette entité corporative qui a subi un procès et c’est elle qui est touchée par le jugement prononcé. Adressez-vous à son propriétaire pour avoir une réponse à votre question.

AVOIR LA PAIX
Quelques personnes m’ont suggéré – et même offert – de faire payer l’amende par un autre pour avoir la paix. J’ai été touchée par l’offre et j’ai souri. Cette fausse paix dont vous parlez, c’est en fait la fin des tracas, la cessation des poursuites. Motivée par l’attachement à un résultat, elle est dictée par l’ego. Acheter la paix, dans quelque situation que ce soit, c’est vendre son âme. La vraie paix est intérieure et libre de toute attente. C’est celle que je cultive.

SE BATTRE POUR LA JUSTICE
J’entends parfois parler de mon combat pour la justice ou contre l’injustice. Les mots combat, bataille, lutte, contestation, résistance… sont souvent utilisés pour décrire mon action. Ce vocabulaire d’hostilité est typique du monde illusoire actuel où règne la séparation autorité-obéissance qui engendre la guerre. Cette dualité réduit notre choix d’action à la soumission ou l’insoumission aux lois établies. Avec cette option limitée, je suis forcément cataloguée comme une rebelle insoumise. Or, ma démarche s’inscrit dans un AUTRE monde, celui de la réalité, où règne l’âme souveraine qui assure la paix et l’harmonie en tout temps. L’être souverain agit en son âme et conscience, sans attente de résultat. La guerre est caduque et son vocabulaire militaire, obsolète. La justice et l’injustice disparaissent pour faire place à la justesse de l’âme, la vérité pure qui ne se trompe pas.

DÉLINQUANTE ÉSOTÉRIQUE
Les recommandations bien intentionnées abondent pour m’inciter à modifier mon langage de conscience, mes propos choquants, mon vocabulaire spirituel, mes opinions tranchées, mes positions radicales… et rendre ainsi mon discours plus acceptable pour tout le monde. Un enrobage plus « correct » éviterait que les médias me ridiculisent et me traitent d’illuminée ou de délinquante ésotérique. Soyez rassurées : la critique ne me touche pas, le ridicule non plus. Et comme je n’attends rien, je ne peux être déçue.
Toutefois, comme vous, je trouve que le réveil de conscience est lent et l’inertie, énorme. Dans pareil contexte, toute idée ou parole dérangeante constitue une menace pour les habitudes de l’ego solidement établi. Il réagit avec agressivité envers la personne qui les exprime. C’est une vieille tactique de la peur. Réalisons que l’humanité est en pleine crise évolutive et que l’époque de l’espoir d’un monde meilleur est révolue. C’est une véritable mutation qui s’amorce. Le monde illusoire de mensonge disparaît pour faire place au monde de vérité. Et la vérité choque!
Quant aux mots à connotation spirituelle – tels conscience et âme – ils suscitent aussi de la résistance, voire même une fermeture d’esprit complète. Se pourrait-il qu’en nous débarrassant des religions et des spiritualités, nous ayons jeté le bébé (vérité) avec l’eau du bain (mensonge)? Modifier mon discours pour qu’il plaise serait mentir. Je sais faire, mais je m’y refuse. Mon engagement dans la conscience de vérité est sans compromis, à l’exemple de mes paroles.


Bilan de fin d’étape

Aujourd’hui je célèbre la fin d’une étape évolutive d’une durée de 15 années, celle de la souveraineté individuelle amorcée en 1993. C’est long, direz-vous. En effet, le mouton noir insoumis et peureux a résisté longtemps. « Que va-t-il m’arriver? » répétait-il sans cesse. La mort, à plus ou moins brève échéance!

Tout ce temps-là, par contre, je savais où j’allais. J’explorais une nouvelle conscience – au-delà de l’objection de conscience et de la désobéissance civile – qui sait que l’autorité suprême est à l’intérieur et non à l’extérieur de soi. J’en avais déduit que la liberté toute-puissante était forcément à l’intérieur de l’individu. J’en étais sûre, je n’en doutais pas, mais je n’en avais pas la preuve. Seule l’expérience pouvait me la fournir. J’ai décidé de relever le défi sans savoir ce qu’il serait. Il consistait à me comporter en être souverain, agir en mon âme et conscience, sans recette ni manuel d’instruction et, surtout, sans garantie.

Mes vieilles habitudes inconscientes et mes anciennes réactions automatiques faisaient surface régulièrement, à mon insu, sans invitation. Mon ego ne voulait pas céder sa gouverne et me causait peurs et ennuis pour me dissuader de continuer. Mais j’avançais quand même sur ce chemin sans chemin jusqu’au jour où j’ai frappé un mur, le mur-de-mort. Il y était écrit : décide ou décède. J’avais le choix de revenir dans l’ancien monde de mort, avec sa soumission ou son insoumission aux autorités extérieures, ou bien de couper les ponts de la survie, de me mettre en marche sur la voie souveraine et advienne que pourra. J’ai choisi d’avancer et de franchir le mur de mort. C’était sans retour. Je n’ai rien fait pour contrôler le résultat; j’ai donné carte blanche à mon âme et m’en suis remise à elle. Elle m’a fait traverser l’épreuve en me tenant par la main. Elle sait que le mur est une illusion et que la mort n’existe pas. Et c’est vrai!

Que reste-t-il de cette aventure? À part une dent en moins et deux oreilles bouchées pour me rappeler mes vestiges de mouton noir, j’ai finalement trouvé ce que je cherchais sans le savoir : comment sortir de l’esclavage humain et découvrir la liberté. Cette dernière était là, à l’intérieur de moi, emprisonnée profondément sous mon statut de citoyenne. J’ai trouvé la clé en sortant de prison et nous nous sommes libérées ensemble. Ça fait bizarre de n’être plus rien, ni citoyenne, ni même être humain, et c’est bon en même temps. Il me reste à intégrer que je suis tout, même les toilettes publiques, la guerre en Iraq et le Nouvel Ordre Mondial.

L’humanité tout entière arrive au mur-de-mort. L’expérience du mouton – tantôt soumis, tantôt insoumis – tire à sa fin. Avec lui disparaîtra la souffrance millénaire qui atteindra d’abord son paroxysme pour nous faciliter la décision d’accepter la mort de nos vieilles façons de faire et, surtout, d’arrêter d’attendre le sauveur extérieur qui ne viendra jamais, car il n’existe pas. Nous espérons que le monde change, que l’humanité s’améliore; mais nous butons toujours sur la même erreur : nous voulons changer le monde sans nous être changés nous-mêmes. Je sais aussi que je ne peux changer personne d’autre que moi. Je m’y emploie de toutes mes forces.

Je ne veux pas d’un monde meilleur, plus juste, plus harmonieux… un enfer à air climatisé. Non. Je veux le paradis sur Terre. Notre espèce humaine sombre un peu plus chaque jour dans la démence et l’absurdité. Elle est en voie d’extinction. Avec elle partira le programme mortel de travailler, souffrir vieillir, mourir. Nous aurons enfin accès à notre identité véritable d’être souverain tout-puissant et immortel. Réjouissons-nous!

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Communiqué pour diffusion le 14 janvier 2009

 


Madame Ghis - Évasion en prison

Un livre…au-delà de la démocratie


Montréal, 14 janvier 2009 – Ghis, autrefois connue sous le nom de Ghislaine Lanctôt et auteure du best-seller «La Mafia médicale», vient de publier un nouveau livre intitulé Madame Ghis - Évasion en prison. Ce volume soulève une interrogation de la part des grands médias. Et pourtant, à chaque présence de l’ex-médecin dans un média, les cotes d’écoute atteignent des sommets faramineux! Peu importe que nous soyons en accord ou non avec ses propos, Ghis ne laisse personne indifférent et le public veut suivre ses péripéties!

 

La version anglaise du livre sera mise en marché le 28 janvier 2009.

Il y a plusieurs années, l’auteure apprit que les impôts servent non pas à financer les services publics, mais plutôt à payer les intérêts d’une «dette nationale» envers la Banque du Canada, elle-même un cartel de banquiers privés étrangers. De plus, ces derniers n’ont rien prêté du tout, que du vent. Dès lors, elle décida de ne plus se faire complice de ce système mensonger et frauduleux. Elle cessa toute collaboration avec les banques et les impôts. De là originent les poursuites judiciaires intentées par Agence Revenu Canada, au nom de Sa Majesté, et l’incarcération qui s’ensuivit pendant deux mois.

Mardi prochain, le 20 janvier 2009, l’entité légale LANCTÔT GHISLAINE sera à nouveau assignée devant la cour en la ville de Granby, Québec, pour y subir son procès.

En ces temps de crise où on s’attendrait à un changement de direction et un élan de créativité de la part de nos dirigeants, force est de constater le contraire :

Emprunts de 75 milliards de dollars consentis pour soutenir les banques privées
Vaccination inutile et coûteuse contre le virus du papillome humain (VPH)
Coup d’état en politique fédérale, où Sa Majesté empêche une coalition des partis de l’opposition
Privatisations multiplies dans tous les domaines, peut-être même celle d’Hydro-Québec
Étranglement continu des citoyens par l’augmentation des taxes et la réduction des services
Détérioration progressive des structures routière, hospitalière, scolaire, etc.
Faveurs envers les corporations multinationales et abandon des industries locales
Disparition du Canada au profit de l’ALENA avec une monnaie unique, l’Amero

Avec les banqueroutes, suicides, crimes, décrochages scolaires, cancers, violence… qui augmentent à une vitesse vertigineuse, on ne peut plus nier l’échec complet de toutes nos institutions dites démocratiques. La société est dans un cul-de-sac. Devant ce constat, Ghis remet les pendules à l’heure. Son ouvrage expose la cause de la faillite des systèmes établis ainsi que leur mort inévitable. Et, surtout, elle propose une voie innovatrice et originale pour l’instauration d’un autre monde.


Le livre Madame Ghis - Évasion en prison est un témoignage qui nous emmène à la prison Tanguay où Ghis a partagé son quotidien avec des femmes pour la plupart étonnantes et attachantes. Il en fera se questionner plus d’un. Les thèmes vont de… La séquestration à… L’évolution de conscience à… L’évasion de l’esclave. Il s’agit, en quelque sorte, d’un rapport médical sur un système démocratique à l’agonie, avec une prescription pour les héritiers. Le testament est à venir… -30-

www.jemesouviensdequijesuis.com
Pour toute information sur la distribution, faites-le : (1) 450 297-3930
Relation avec les médias : sandra@pare.com
Pour recevoir ce livre en service de presse, contactez-nous, merci.

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Aujourd'hui, le 23 juin 2008, avait lieu le procès pro-forma de LANCTÔT GHISLAINE, au Palais de Justice de Granby. J’y étais présente, tel que je m’y étais engagée. Je maintiens, toutefois, qu’il s’agit d’une erreur d’identification et que je ne m’identifie pas à cette personne juridique fictive. Le procès sera entendu le 20 janvier 2009.

Pour moi qui me présente comme un être souverain avec corps, âme et esprit, ce procès consiste en une expérience d’évolution de conscience et non un duel duquel émaneront un gagnant et un perdant.

L’être souverain est un être humain transformé, qui n’a plus peur et n’a plus besoin de sécurité et de protection. Il ne connaît pas d’ennemi extérieur, car il est TOUT. Son ego de survie est mort et son corps (physique, émotionnel, mental) est gouverné par son âme, l’individualisation de l’esprit créateur. Il ne craint pas le résultat matériel et n’y est pas attaché. Son seul objectif est la démarche spirituelle. C’est la chenille qui est devenue papillon.

Demain, 24 juin, ce sera la fête des Québécoises et Québécois. Profitons de cette occasion pour mourir au rêve illusoire de la souveraineté hiérarchique du Québec (ou de tout autre état) et naître à la nouvelle conscience de la souveraineté individuelle, unité sans séparation, sans dualité dominant-dominé, autorité-obéissance, bien-mal. La personne souveraine fête la vie-sans-mort. Elle se célèbre !

C'est cela que le corps est en train d'apprendre : à remplacer le gouvernement mental de l'intelligence par le gouvernement spirituel de la conscience. (…) Mais puisque ça se passe dans un corps, ça peut se passer dans tous les corps ! » (Satprem, Le Mental des cellules, citation de Mère)

La personne souveraine fête la vie-sans-mort. Elle se célèbre!

Ghis

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MANDAT D’ARRESTATION EXÉCUTÉ


Ghis, anciennement connue sous le nom de Ghislaine Lanctôt, a été arrêtée le 3 avril 2008 par deux membres de la Gendarmerie Royale du Canada. Cette arrestation fait suite à un mandat d’arrestation prononcé le 3 mars 2008 contre LANCTÔT, GHISLAINE, corporation créée par le gouvernement et propriété de ce dernier, pour avoir omis de se présenter à la Cour du Québec, à Granby.

ERREUR SUR LA PERSONNE

En effet, il y a confusion entre deux personnes distinctes :

  • La première, la personne réelle, s’appelle Ghis (anciennement connue sous le nom de Ghislaine Lanctôt). Elle est une femme souveraine, avec un corps, une âme et un esprit. Elle n’est pas concernée par cette situation.
  • La seconde, la personne fictive, porte le nom de LANCTÔT, GHISLAINE. C’est une entité légale, une corporation créée par le gouvernement et lui appartenant. C’est elle qui est en cause.

L’origine de cette confusion vient du fait suivant. À la naissance d’un bébé vivant, le gouvernement constitue une corporation – une compagnie – qui lui appartient et à laquelle il donne le même nom que celui que les parents ont choisi pour leur bébé. À ce nom, il joint la date de naissance et un numéro d’assurance sociale. Le tout établit le certificat de naissance d’une entité légale, personne virtuelle sans vie. Or, le certificat de naissance consiste en l’enregistrement d’un fait historique et ne constitue EN AUCUNE FAÇON une preuve d’identité.

CETTE MANŒUVRE EST FAITE À L’INSU DE LA PERSONNE RÉELLE.

La personne fictive ainsi nouvellement créée est la propriété du gouvernement. Comme cette personne fictive n’a pas de vie, elle ne peut exister que si la personne réelle accepte de la « nourrir » en l’endossant par sa signature. Comment y arriver ? En amenant la personne réelle à s’identifier à la personne fictive qui porte le même nom qu’elle. Ainsi les deux personnes sont amalgamées. Et la personne réelle, ignorante de ce piège, travaille à la sueur de son front pour faire vivre la personne fictive qui appartient au gouvernement, elle et toutes ses possessions. Ainsi, tout ce qui est au nom d’une personne (maison, automobile, compte de banque, REER, salaire, pensions, assurances, et même ses enfants) appartient en fait à la personne fictive, et donc au gouvernement, le propriétaire de celle-ci.

De plus, sans que le citoyen en soit informé, il existe un échange commercial entre la personne fictive et le gouvernement. D’une part, ce dernier accorde des «privilèges» à la personne fictive : droits, sécurité, protection. D’autre part, la personne fictive doit payer les impôts et les taxes. Ce contrat est « présumé », c’est-à-dire pris pour acquis par le gouvernement, sans que la personne réelle n’en ait été informée ni qu’elle y ait consenti. Cette dernière, se croyant liée aux obligations de la personne fictive, s’y conforme. Elle ignore tout : d’abord l’existence de deux personnes portant le même nom, ainsi que la présence d’un « contrat présumé ». Par conséquent, elle ne peut savoir que l’obligation contractuelle n’est pas pour elle, mais plutôt pour la corporation qui porte son nom. Or, pour la personne réelle, la production d’un rapport d’impôt est facultative et la contribution est volontaire.

CE CONTRAT EST FAIT À L’INSU DE LA PERSONNE RÉELLE.

Dans le cas ici présent, Ghis, personne réelle, ne s’identifie plus à la personne fictive LANCTÔT, GHISLAINE et ne l’endosse plus. En effet, depuis 1995 environ, elle a mis fin aux privilèges accordés par le gouvernement et, par le fait même, à l’obligation de produire un rapport d’impôt sur le revenu. Ceci veut dire qu’elle ne reçoit aucun bénéfice du gouvernement ou des corporations qui y sont reliées (pensions, assurance-maladie, permis, comptes de banque, recours légaux, emploi, etc.) et qu’elle ne possède rien au nom de la personne fictive. En aucune façon, elle n’est impliquée dans le contrat entre les deux corporations : le gouvernement du Canada et LANCTÔT, GHISLAINE. La sommation adressée à LANCTÔT, GHISLAINE ne la concerne pas. Pour ces raisons, l’arrestation de Ghis est une erreur sur la personne.

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Bonjour!

Je vis en ce moment une expérience extraordinaire d’évolution de conscience. En effet, c’est bien de cela dont il s’agit, et non pas d’un événement fiscal, juridique ou financier. Ma situation d’aujourd’hui est l’aboutissement d’un long processus de transformation de conscience dans ma vie quotidienne.

Ce cheminement a commencé avec la rédaction de La Mafia médicale en 1995, livre dans lequel je proposais comme solution la « souveraineté individuelle ». J’ai pris conscience que l’ultime pouvoir créateur est à l’intérieur de la personne! Dès lors, j’ai appliqué ce concept dans ma vie de tous les jours, en apprenant à me conduire en être créateur souverain que j’étais.

Après sept années de pratique, j’ai partagé mon expérience dans un deuxième livre paru en 2002 et intitulé Que Diable suis-je venue faire sur cette terre? J’y ai d’abord dressé Le Grand Portrait de l’évolution de la conscience humaine. Puis, j’ai décrit le virage à 180° nécessaire au changement de comportement caractéristique du nouvel être qui se souvient de qui il est. Ceci s’applique à tous les domaines : religieux, financier, bancaire, politique, légal, commercial, industriel, familial, communautaire… La non-collaboration avec l’impôt sur le revenu en fait partie. Je la pratique depuis 1995.

Cette évolution de conscience m’a amenée à voir et à guérir plein de peurs dont j’étais inconsciente. Ma décision irrévocable de passer de mouton peureux inconscient à la jument ailée consciente de sa vraie identité m’a conduite à donner carte blanche à mon âme, ma seule véritable souveraine, et à lui obéir aveuglément. Le mandat d’arrêt me permet aujourd’hui de faire face à la peur ultime, celle de l’emprisonnement. Quel cadeau je m’offre, par amour-pour-moi!

L’humanité est une transition entre l’animalité et la diessité (divinité intérieure). L’espèce humaine peureuse que nous connaissons est en voie d’extinction, ainsi que l’enfer-sur-terre qu’elle manifeste. Un nouvel être est en formation, conscient d’être l’unique créateur de tout l’univers. Il connaîtra enfin l’amour véritable, la vie-sans-mort et le paradis-sur-terre.

Je me réjouis de participer activement et volontairement à l’évolution de la conscience humaine et remercie toutes celles et ceux qui y collaborent.

Ghis

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE D’INTÉRÊT PUBLIC

MANDAT D’ARRESTATION À GRANBY

ERREUR SUR LA PERSONNE


Un mandat d’arrestation a été prononcé le 3 mars 2008 pour défaut de comparaître, malgré une erreur sur la personne.

En effet, en date du 4 juin 2007, le procureur général du Canada a été avisé par lettre que le nom de LANCTÔT, GHISLAINE entité légale qu’il avait constitué par un certificat de naissance ne faisait plus preuve de l’identité de l’être humain qui lui avait servi de représentante auparavant.

Le 6 juin 2007, l’Agence du revenu du Canada a fait signifier une sommation à la corporation LANCTÔT, Ghislaine, création et propriété du gouvernement, de comparaître le 18 juin 2007 en cour du Québec de Granby pour répondre à sept chefs d’accusation de la Loi de l’impôt sur le revenu pour omission de produire des déclarations de revenus des particuliers, et ce malgré le fait que les procureurs généraux du Québec et du Canada aient été avisés au préalable qu’il n’y avait plus de répondante pour cette entité légale. (sommation 455 73-000295-074) Le procureur mandaté par l’Agence du revenu est Me Serge Champoux.

Le 18 juin 2007, une visite de courtoisie a été faite pour informer le juge Donald Bissonnette qu’il n’y avait plus de représentante pour la corporation LANCTÔT, Ghislaine. Malgré l’avis donné au Tribunal, un plaidoyer de non culpabilité fut enregistré au procès-verbal, sans tenir compte du refus d’adhésion à l’entité juridique. La cour a reporté la cause au 16 juillet 2007, pro-forma.

Le 16 juillet 2007, la juge Marie-Josée Ménard décida de fixer le procès le 6 septembre 2007, à la même cour.

Le 6 septembre 2007, l’entité juridique LANCTÔT, Ghislaine a été condamnée sur tous les chefs, par la juge Marie-Josée Ménard, à payer une amende de 1000$ par chef pour un total de 7000$. Une ordonnance lui a aussi été émise de produire des déclarations de revenus, dans les 30 jours.

Le 30 janvier 2008, une nouvelle accusation a été portée contre l’entité juridique
LANCTÔT, Ghislaine pour ne pas avoir produit les déclarations de revenus dans les 30 jours. La comparution a été fixée au 3 mars 2008 au Palais de Justice de Granby.
(sommation 460 73-000190-085) Le procureur ad hoc est Me Serge Champoux.

Le 3 mars 2008, vu l’absence de l’ancienne représentante de la corporation LANCTÔT, Ghislaine, un mandat d’arrestation a été ordonné contre cette corporation pour défaut de comparaître.

OR, IL N’Y A PLUS DE LIEN ENTRE LA CORPORATION LANCTÔT, GHISLAINE ET L’ÊTRE HUMAIN AVEC UN CORPS, UNE ÂME ET UN ESPRIT.

Pour plus de détails, visiter le site www.jemesouviensdequijesuis.com


QUE SE PASSE-T-IL?

Est-ce une question d’argent ? Non, c’est une question de conscience.
Depuis des années, je, Ghis, être souverain avec un corps, une âme, un esprit, renonce à tous les privilèges accordés par le gouvernement (assurance-maladie, permis de conduire,
Régie des rentes, pension de vieillesse, fonds de retraite, compte de banque, cartes de crédits, etc...) pour ne pas être liée par les obligations qui s’ensuivent et qui vont à l’encontre de ma conscience.

Jusqu’en 1994, j’ai accepté de payer les impôts pour l’entité fictive appelée « contribuable », une corporation que le gouvernement a créée, qui lui appartient et qui porte le nom de LANCTÔT, GHISLAINE. Je croyais contribuer ainsi au bien public et je le faisais avec entrain.

Que s’est-il passé pour que je stoppe complètement cette pratique en 1995? J’imagine les motifs probables que vous pouvez évoquer pour telle décision : finances, rébellion, négligeance, oubli... Ce n’est rien de cela.

C’est par obéissance à mon âme&conscience que j’ai pris cette décision, depuis que je sais que :

  1. Les impôts ne servent pas au bien public. Ils vont directement dans les coffres des banquiers internationaux - propriétaires de la Banque du Canada - qui les utilisent pour financer les armes et les guerres, entre autres.
  2. La Banque du Canada n’appartient pas au Canada. Elle est un cartel de banques privées internationales qui créent la monnaie canadienne. Ce pouvoir de création de la monnaie était exclusif au gouvernement canadien. Il l’a cédé à la Banque du Canada en 1913. Depuis lors, le gouvernement emprunte (avec intérêt composé) de l’argent qu’il pouvait créer lui-même, sans coûts. C’est ainsi qu’une dette s’est constituée et que le peuple, les « contribuables » donnés en garantie, se saignent à blanc pour en payer uniquement les intérêts.
  3. Les services fournis par le gouvernement ne sont pas payés par les impôts. Ils sont financés à même de nouveaux emprunts encourus régulièrement. D’où la croissance constante de l’inflation et de la dette - capital et intérêts -.
  4. La dette est fictive, virtuelle. C’est une fausse dette. Aucun argent n’a été prêté par les banquiers propriétaires de la Banque du Canada. Ce sont des écritures sans aucune réserve qui sont enregistrées et utilisées. C’est de l’argent fictif, créé à partir de rien. Il n’y a pas de vraie dette!
  5. Les impôts sont à contribution volontaire pour les particuliers. Il n’y a pas de loi qui impose aux femmes et aux hommes vivants - des êtres humains en chair et en os - de payer l’impôt sur leurs revenus. Seules les corporations - des personnes fictives - sont tenues de payer l’impôt sur leurs profits (revenus moins dépenses).

EN PAYANT LES IMPÔTS :

  • Je me fais complice de tromperie et escroquerie publiques.
  • Je participe au financement des guerres et génocides dans le monde. Les Principes de Nuremberg n’interdisent-ils pas toute forme de collaboration, directe ou indirecte, avec un « crime contre la paix, un crime de guerre, un crime contre l’humanité »?
  • J’endosse la dépossession des petits par les gros, je crée l’injustice sociale.

Devant ce constat, mon âme m’interdit formellement de contribuer aux impôts.

D’ailleurs, même chez les autorités, le message est ambivalent quant au comportement à adopter. C’est établi, il faut toujours obéir aveuglément aux ordres des autorités. Sauf que, parfois, il faut obéir à sa conscience plutôt qu’aux ordres des autorités. C’est ainsi qu’on a vu les autorités :

  • condamner les chefs nazis à Nuremberg, ainsi que Papon en France, parce qu’ils avaient obéi aux ordres des autorités et non à leur conscience;
  • récompenser le général Roméo Dallaire après qu’il eut obéi à sa conscience et non aux ordres des autorités de l’ONU.
  • Il existe « une loi supérieure, la loi de Dieu, qui ordonne d’obéir à sa conscience », ont déclaré les autorités à Nuremberg.

Je suis consciente de la perturbation qu’occasionne, pour les systèmes établis, l’obéissance à mon âme&conscience. Peu importe le prix à payer, je demeure fidèle à mon âme&conscience. C’est elle qui gère ma vie et je lui ai donné carte blanche.

Quelle que soit l’issue de cette aventure, je me réjouis de contribuer à l’évolution de la conscience humaine. Après tout, n’est-ce pas pour cela que je suis sur terre?!

Ghis
À suivre!
Vous serez informé au fur et à mesure des événements.

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